Sauter à pieds joints
dans la (maudite)
conciliation travail-famille

25

Janvier 2019

Quand je suis retournée (très brièvement) au travail entre mon premier congé de maternité et mon retrait préventif pour ma deuxième grossesse, dès la première semaine j’ai dû user du terme conciliation travail-famille.

En effet, ma fille a été malade et a dû être retirée de son milieu de garde aussitôt que j’ai recommencé à travailler! Et je n’étais pas au bout de mes peines…

 

Entre l’angoissante course à la montre entre le trafic du retour à la maison et la fermeture de la garderie (que j’ai perdue plus souvent qu’à mon tour – merci maman d’être venue à mon secours! – ), la garderie qui ferme parce que Mme G. est entrée dans la place et ma propre fille et ses microbes, j’ai manqué plusieurs journées de travail en seulement 3 mois!

Donc quand j’ai appris que mon poste était aboli et que je devais me trouver un nouvel emploi, disons que l’appel du travail autonome était très intense! Bien sûr, il y a plein d’avantages et mon travail est passionnant, mais ça serait mentir de dire que de travailler de la maison n’a pas joué un gros rôle dans la balance.

 

C’est cliché, mais on a choisi notre qualité de vie de famille…

Cette semaine devait être ma première semaine à me consacrer entièrement à ma nouvelle carrière, Meghan faisant son entrée à la garderie à temps plein. J’avais des rencontres clients et appels de cédulés (3!!!), une journée de coworking avec Kaylynne et plein de temps devant moi pour travailler de petits projets…

…Pour finalement apprendre mercredi que ma gardienne est malade (maudite Mme G.!) et que la garderie est fermée! Ça fait donc 3 jours que je suis avec des enfants qui ne peuvent pas aller à la garderie, non pas parce qu’ils sont malades, mais parce que la personne qui s’occupe d’eux l’est!

Je n’ai évidemment pas autant travaillé que je l’aurais voulu, j’ai dû déplacer une rencontre à la semaine prochaine et faire un appel découverte avec Meghan dans les bras.

J’ai choisi une nouvelle carrière qui me permet un horaire flexible et qui évite à mon mari de prendre tout ses congés maladie si une situation comme celle-ci se présente, mais disons que je ne m’attendais pas à ce que ça arrive dès la première semaine!

Bref, on est passés à travers notre premier épisode de la fameuse conciliation travail-famille et même si j’aurais bien aimé travailler un peu plus, je me félicite d’avoir fait un choix qui a énormément facilité notre vie cette semaine!

Vous autre, la conciliation travail-famille, ça va comment? Avez-vous un patron compréhensif quand une situation plate se produit?

 

À bientôt!

Ton Alliée Virtuelle
Mélanie

Pour suivre le blog et être au courant des dernières nouvelles,

inscris-toi à l’infolettre!
[et_bloom_inline optin_id="optin_2"]